vendredi 2 décembre 2011

Nos partenaires emploi


« Vous recrutez sur Le Havre, le pays de Caux ou le pays d’Auge ? Le Portail Emploi de l'Estuaire est le site de recrutement en ligne de l'association des CCI de l'Estuaire de la Seine : CCI du Havre, CCI de Fécamp Bolbec, CCI du Pays d'Auge. Il rassemble à ce jour plus de 800 entreprises, 100 partenaires emploi formation, 16 000 candidats, 900 contacts professionnels sur VIADEO. Son offre de service, totalement gratuite, permet d’assurer une visibilité maximale pour vos offres sur Le Havre, le Pays de Caux et le Pays d’Auge. Votre contact : Olivier Gagin, ogagin@havre.cci.fr »

mardi 8 novembre 2011

Rencontre du développement territorial


Madame, Monsieur,

La CAPEB participe à la « Première rencontre du développement territorial », qui aura lieu le mardi 22 novembre 2011 à Evreux. Ces rencontres qui réuniront l’ensemble des acteurs économiques de notre territoire auront lieu de 8h30 à 12h30 dans l’espace de l’amphithéâtre du département formation de la CCI de l’Eure Rue Becquerel.

Un évènement au service des emplois et de compétences du territoire

Au programme de cet évènement, des interventions :

Ø de porteurs de projets venus de différents territoires,

Ø de dirigeants d’entreprises ayant bénéficié d’actions territoriales,

Ø d’experts,

Ø de responsables GPECT et Observatoire MD3E.

Le but de ces rencontres est de faire émerger à court terme sur le territoire les besoins spécifiques des entreprises et de leur apporter des solutions, à ce titre nous vous invitons à participer à cette manifestation. Si vous êtes intéressé par cette action, vous pouvez nous contacter au numéro suivant :

CAPEB Haute-Normandie

Virginie TILLARD – 02 32 23 50 60

vendredi 14 octobre 2011

Forum Emploi Val de Reuil


Cette année et pour la première fois La Communauté D'agglomération Seine Eure (Bassin de Louviers) organise avec de nombreux partenaires Locaux son 1er MEETING DE L'EMPLOI. Il se tiendra les 3, 4, 5 Novembre 2011 au stade couvert JESSE OWENS de Val de REUIL (27).

Chacune des trois journées a un objectif spécifique : Une soirée du jeudi dédiée au réseau organisée avec Eure Expansion, une après midi du vendredi dédiée aux scolaires et étudiants, une journée du Samedi dédiée aux demandeurs d’emploi et en recherche d’information.

La CAPEB qui depuis 4 ans vous propose de vous accompagner dans vos démarches de recrutement, tiendra un stand pour capter des candidats motivés par un emploi dans l’artisanat du bâtiment.

Si vous êtes intéressé par cette action, dans le but de recruter, de promouvoir votre métiers, votre entreprise ou de participer avec nous à cette manifestation, merci de nous contacter au numéro suivant :

CAPEB Haute-Normandie

Virginie TILLARD – 02 32 23 50 60

samedi 20 août 2011

Témoignage Stéphane Foulon


« Ce travail nous a permis d’évaluer les besoins en formation des salariés »

Quel est votre parcours ?

Au départ, j’ai un BAC spécialités Maths et techniques. Ensuite, je suis allé à la Fac pour effectuer un DEUG en informatique mais comme cela ne me plaisait pas, j’ai passé un BTS en domotique ainsi qu’un CAP plombier chauffagiste et un BP Génie climatique. Mon père et mon grand père étaient plombiers chauffagistes mais ils avaient chacun leur entreprise. Mon père a du arrêter son activité suite à un accident. Donc, à la suite de mon BTS, j’ai eu envie de reprendre le métier de mon père et j’ai crée mon entreprise en 1996.

Dans quel contexte avez-vous fait appel à la CAPEB ?

Nous recherchions une assistante de gestion. Nous n’étions pas satisfaits des autres organismes qui nous ont envoyés des candidats qui n’avaient rien à voir avec ce que nous avions demandé. Comme nous ne savions pas comment nous y prendre, nous avons décidé d’appeler Grégor pour nous aider. Il a établit une fiche de profil et a fait une sélection de 6 candidates qu’il a rencontré une première fois pour nous en présenter 2 et j’ai choisi une assistante qui correspondait aux attentes que j’avais. De la même manière, nous avons recruté un chauffagiste frigoriste qui est en CDI aujourd’hui.

Désormais, pensez-vous recruter en autonomie ?

Je pense que je recruterais seul uniquement pour du technique par contre pour une assistante de gestion ou un commercial, je ne me vois pas le faire car Grégor pose des questions précises sur les compétences de ces métiers.

Depuis, avez-vous appel à la CAPEB pour une autre prestation ?

Suite à ces recrutements, nous avons travaillé ensemble sur une démarche compétences qui est encore en cours. Ce travail nous a permis d’évaluer les besoins en formation des salariés et surtout de palier le décalage qu’il y avait entre ce qu’on pensait des salariés et ce qu’ils savaient réellement faire. Par exemple, grâce à cette démarche, on s’est aperçu que notre technicien était un futur chef d’équipe. Cela nous a permis de voir jusqu’où on pouvait emmener nos salariés.

Quel bilan faîtes vous de l’intervention de la CAPEB ?

C’est un vrai gain de temps pour nous. La CAPEB est vraiment réactive notamment dans le recrutement et nous sommes très satisfaits de leurs interventions.

Quels sont les projets de l’entreprise ?

Je souhaite continuer à me développer. Je pense recruter de nouveau un électricien, c’est à l’étude.

dimanche 31 juillet 2011

Témoignage Hervé Bouteiller

« Cela à permis de « mettre sur la table » toutes les questions que je me posais. »

Pouvez-vous me parler de votre parcours ?

Auparavant, j’étais dans une filière mécanique. En effet, J’ai obtenu un CAP de tourneur, un BEP Mécanicien –Monteur puis un CAP de fraiseur. La branche mécanique ne plaisait pas donc j’ai décidé de passer un BAC Maintenance des Systèmes Mécaniques Automatisés qui m’a permis de travailler au service maintenance d’une société de textile dans laquelle j’ai évolué puisque je suis devenu chef d’équipe pendant 3 ans. Cette entreprise a fermé et j’ai décidé de me reconvertir et de passer un concours administratif que j’ai obtenu et qui m’a permis de devenir électricien dans les énergies solaires au service des phares et balises du Havre pendant 3 ans. Cependant, j’avais toujours eu l’idée dans un coin de ma tête de m’installer à mon compte. Je me suis lancé en 2003 car j’avais envie de « voler de mes propres ailes », la fibre bâtiment m’intéressait vraiment.

Pour quelles raisons avez-vous fait appel à la CAPEB ?

Au départ, j’étais seul avec un salarié puis j’ai envisagé d’embaucher un autre électricien car j’étais débordé par l’activité. C’est à ce moment là que j’ai fait appel à Grégor et à James. Avant de recruter, je voulais avoir des réponses et des certitudes sur les questions que je me posais concernant mon employé. Le but était de cibler au mieux ses compétences car je voulais développer l’activité au niveau thermique. La question essentielle était de savoir si mon salarié accepterait de poser l’isolation et surtout s’il était capable de le faire. Je voulais également connaître ses motivations et les perspectives qu’il avait par rapport à l’entreprise car j’étais prêt à m’investir pour lui.

Quelles sont les conclusions que vous en avez tirées ?

Cela à permis de « mettre sur la table » toutes les questions que je me posais. J’ai été agréablement surpris par ce bilan car mon salarié a envie d’évoluer dans la société et est motivé. Cela nous a permis de discuter des points à améliorer et de trouver une solution quant à l’organisation de l’entreprise. En effet, mon salarié a exprimé le fait qu’il ne souhaitait pas s’occuper de l’automatisme et des parties trop techniques, de ce fait, nous avons partagé les tâches et cela lui a permis d’évoluer dans les parties qu’il aimait. Ainsi, cette démarche m’a permis de recruter sereinement car je ne voulais pas que mon salarié se sente lésé et je devais avoir son « son de cloche » avant d’employer quelqu’un.

Quel bilan faîtes vous de l’intervention de la CAPEB ?

Ce sont des sujets qu’on n’abordait pas avant car on a « la tête dans le guidon » et on gère l’urgence en permanence. Pourtant il faut prendre le temps de le faire. Cela m’a beaucoup apporté surtout au niveau du relationnel avec mon salarié. De plus, nous avons pu réorganiser le travail en répartissant les tâches. Aujourd’hui, on sait qui fait quoi.

Quels sont vos projets pour l’avenir ?

Depuis que l’on fait de l’isolation on a des chantiers plus importants notamment grâce à ce bilan de compétences. De plus, nous sommes partenaires avec d’autres entreprises ce qui est très intéressant. Nous souhaitons poursuivre dans ce sens.

mardi 12 juillet 2011

Témoignages de Philippe Rémaud

« Le but de l’entreprise est de gagner de l’argent mais il faut penser aussi au quotidien des gars. »

Comment avez-vous connu la CAPEB ?

J’ai contacté la CAPEB que j’avais eu l’occasion de rencontrer lors d’un salon. Ils m’ont mis à l’aise. Ils sont à l’écoute et très pointus. J’avais besoin d’un appui dans la gestion de mon entreprise et je voulais faire une formation dans le management car je voulais savoir comment j’étais avec mes salariés.

Pouvez-vous nous parler de votre parcours ?

A 40 ans Je me suis dit qu’il me restait 25 ans à travailler donc je me suis demandé ce que j’allais pouvoir faire où si je devais rester dans ce que je faisais. Donc je me suis dit : Pourquoi ne pas reprendre quelque chose à mon compte ? J’ai travaillé dans l’entreprise que j’allais reprendre par la suite donc c’était difficile comme position car j’étais repreneur et en même temps salarié….L’ancien patron et moi n’avions pas du tout la même façon de voir les choses.

Comment avez-vous vécu votre passage de salarié à chef d’entreprise ? N’était-ce pas difficile de vous positionner vis-à-vis de vos salariés ?

Le positionnement s’est fait dès le départ car j’étais adjoint avant donc le passage s’est fait naturellement et j’ai passé 1 an sur le terrain avec eux. Mon but était d’améliorer le quotidien des gars car pour certains ce n’était pas facile. Il y en avait un qui venait de loin et qui mangeait dans sa voiture le midi été comme hiver donc j’ai fait de la place dans un coin cuisine que j’ai aménagé pour qu’il puisse manger au chaud. D’ailleurs, d’autres salariés sont venus manger avec lui. Il est important de penser au quotidien des gars même si le but de l’entreprise est de gagner de l’argent.

Quelles sont les actions que vous avez menées avec la CAPEB ?

J’ai fait appel à la CAPEB pour le recrutement d’un plombier chauffagiste. Il faut dire que c’est un gain de temps, il y a tout un travail de présélection, une espèce de filtre qui nous amène potentiellement sur le bon candidat. Grâce aux conseils du chargé de missions, j’ai pu me servir des méthodes d’entretien pour recruter en toute autonomie. D’ailleurs, j’ai du recruter en urgence car je devais démarrer un chantier. J’ai donc embauché un gars qui avait les diplômes mais j’avais pressenti dès le départ que cela ne marcherait pas dans sa façon d’organiser les choses, il se posait beaucoup de questions. Il est d’ailleurs parti peu de temps après mais sa décision ne m’a pas étonné car je m’y attendais. Ensuite, j’ai mis en place des entretiens professionnels avec mes salariés. J’en avais déjà fait mais il me manquait un cadre, quelque chose de bien défini. Ces entretiens ont été une bonne chose. On a un retour intéressant sur tout ça. Le but était de voir les attentes de chacun. A la suite de ces entretiens, j’ai réuni mes salariés afin de leur expliquer ce qui allait changer et la manière dont l’entreprise allait évoluer. Je souhaite effectuer des entretiens régulièrement maintenant que j’ai les bases pour les faire.

Avez-vous senti des changements après l’intervention de la CAPEB ?

La communication s’améliore doucement même si les gars sont des « taiseux », ils font des efforts pour s’exprimer un peu plus. Je les laisse en autonomie sur certains points comme par exemple participer au choix du matériel car c’est eux qui travaillent avec et je ne veux pas tout décider. On sent alors qu’il y a de plus en plus de reconnaissance et ils en ont besoin.

Quels sont vos projets à long terme ?

Je souhaite stabiliser l’entreprise sur les recrutements de manière à consolider l’équipe. On n’a pas vocation à être une grande entreprise. L’idée c’est qu’elle puisse vivre seule. Le but est d’assurer une certaine autonomie aux salariés et me permettre d’être un relai.

lundi 30 mai 2011

Réunion du Club RH

Madame, Monsieur,

Vous avez bénéficiez d’un accompagnement de la CAPEB dans vos démarche de recrutement ou de gestion des compétences.

En fin d’année dernière, nous avions organisé plusieurs « Club RH » à destination des chefs d’entreprise artisanales de la Région Haute-Normandie.

Cette année, nous renouvelons les « Clubs » pour vous donner les moyens d’identifier et de conserver les compétences clefs dans votre entreprise.

Nous vous présenterons également les dispositifs de fidélisation qui permettent de conserver les salariés qui détiennent les compétences clefs.

Nous vous invitons à venir échanger vos réflexions avec d’autres collègues ayant les mêmes préoccupations que vous, en toute convivialité :

Le mardi 7 juin 2011 à 18 heures à la CAPEB Seine Maritime - 17, Avenue Franklin Roosevelt - 76120 GRAND QUEVILLY.

Le jeudi 16 juin à 18 heures à la CAPEB Océane - 291 Rue de Verdun - 76600 LE HAVRE.

Chaque réunion sera suivie du petit verre de l’amitié.

Virginie Tillard / James Colas

Chargés de mission ressources humaines

Merci de confirmer votre présence par mail (j.colas@capeb-haute-normandie.fr) ou
fax : 02 32 23 50 65


lundi 2 mai 2011

TEMOIGNAGE M.JOLYS


Entreprise Jolys, M.Jolys, 1 salarié, La trinité de thouberville, 27
« Cette démarche m’a permis de savoir où je me situais par rapport à mes salariés »
Quel est votre parcours ?
Auparavant, je travaillais en tant que chaudronnier et commercial jusqu’au jour où j’ai voulu changer de métier. J’ai passé un CAP de plombier-chauffagiste à l’AFPA en 1993, ce qui m’a permis de travailler en tant que plombier pendant 5 ans chez un artisan. Puis, j’ai voulu « gagner un peu plus ma croûte » alors je me suis mis à mon compte en 2000. J’ai recruté jusqu'à 6 salariés. Aujourd’hui, nous sommes 2 dans l’entreprise, mon fils en tant qu’apprenti et moi-même.
Dans quel contexte avez-vous fait appel à la CAPEB ?
A l’époque où j’avais deux ouvriers, je me posais des questions sur l’organisation de l’entreprise. Le but était de mettre les choses au clair avec eux. Je souhaitais m’agrandir et leur faire prendre conscience d’un éventuel développement en vue d’organiser des équipes et de les responsabiliser. Je souhaitais travailler également sur la communication et essayer de les cerner car au bout d’un moment on ne sait plus trop comment se parler. Parfois, c’est difficile de dire les choses à son patron. Gregor m’a aidé à mettre les choses à plat car il connait ma façon d’être et il a su aller dans le sens qui me convenait.
Qu’avez-vous pu constater ?
On s’est entretenu avec chaque salarié, ce qui a permis de connaître leur motivation et de voir s’ils avaient besoin de se former. Du coup, un des salariés a effectué des formations sur le gaz et un stage en électricité. J’ai fait ce qu’il y avait à faire. Quant à mon fils, il a eu son CAP en plomberie. Pour le moment, il fait 2 ans de chauffage et veut par la suite passer son BAC pro. Quand il sera formé, on verra pour reprendre un apprenti qu’il formera à son tour.
Quel bilan faîtes vous de cette intervention ?
Cette démarche m’a permis de savoir où je me situais par rapport à mes salariés. Elle nous a permis aussi de gagner du temps sur l’organisation des chantiers car ce n’était pas clair. Je pense que c’est une question de motivation pour l’entreprise que ce soit du côté du salarié ou du patron, il faut que tout le monde joue le jeu pour que ça marche. Aujourd’hui, on n’a pas pu aller au bout de la démarche car le salarié ne travaille plus ici. Cependant, je pense continuer dans ce sens car je vais devoir recruter à un moment donné.
Quels sont vos projets pour l’avenir ?
Pour le moment, on va se maintenir comme cela pendant 2 ans. Il y a du travail mais pas assez pour plusieurs salariés.

samedi 30 avril 2011

TEMOIGNAGE JEAN-LUC MONAI


M.Monai Jean-Luc, Gouy, Maître Maçon-Carreleur, 3 salariés, 46 ans.
« Cela les a fait avancer. Ils se positionnent un peu mieux.»
Pouvez-vous me parler de votre parcours ?
Dés mon plus jeune âge à l’école, je voulais être maçon. Donc, j’ai fait des études dans ce secteur et j’ai obtenu mon CAP à 16 ans. Par la suite, j’ai effectué un Brevet Professionnel et Un Brevet de Maîtrise en carrelage. J’ai travaillé pendant 11 ans en tant que salarié dans l’entreprise de mon père qui était artisan. Ensuite, j’ai crée mon entreprise en 1996 à l’âge de 31 ans. Au départ, j’étais seul puis j’ai embauché jusqu’à 7 salariés. Aujourd’hui, nous sommes 4.
Dans quel contexte avez-vous fait intervenir la CAPEB ?
Lors la formation FEE BAT qui se déroule à la CAPEB, j’ai exposé mes difficultés concernant la masse salariale à M.Luberda qui m’a orienté vers Grégor Aupaix. En effet, je souhaitais recruter une personne pour me seconder car il était difficile de tout gérer seul. Je cherchais quelqu’un de compétent avec la double compétence en maçonnerie et en carrelage et surtout une personne qui puisse gérer une équipe. Nous avons effectué le recrutement de cette personne à deux car je souhaitais avoir deux avis. Mon avis est professionnel, plus technique alors que Gregor Aupaix va s’occuper de tout le reste. C’est important car auparavant je recrutais au « feeling » et ce n’était pas forcément bon. Malheureusement, la personne que nous avons recrutée n’a pas répondu à mes attentes. De ce fait, je vais recruter de nouveau dans les mois à venir.
Suite à ce recrutement, nous avons travaillé sur la démarche compétences que je viens tout juste de terminer avec le chargé de mission. Je peux déjà dire que c’est très bien de se poser et de réfléchir à ce que l’on veut faire. On met les choses à plat. Je ne l’avais jamais fait avant et l’on m’avait déconseillé d’entrer dans cette démarche car elle ne servait soi disant à rien. Ce n’est pas du tout le cas, au contraire, je pense qu’elle est très bénéfique car elle permet de connaître et de confirmer des choses qu’on ne dit pas toujours à l’oral.
Comment les salariés ont-ils perçu la démarche ?
Au départ, les gars appréhendaient un peu cette démarche mais au final ils l’ont très bien pris. Cela les a fait avancer. Ils se positionnent un peu mieux. Ils vont effectuer des formations : Le brevet de secourisme et le permis E (remorque).
Quel bilan faîtes vous de cette intervention ?
Il faut dire que nous communiquions déjà pas mal entre nous mais avec cette démarche on va plus loin et je compte mettre en place les entretiens tous les ans car je suis satisfait de ce qui en est ressortit.

Quels sont vos projets pour l’avenir ?
A l’avenir, j’aimerais que l’entreprise grandisse un peu, c’est pour cette raison que je vais recruter un nouveau chef d’équipe. Pour le moment, on n’a pas à se plaindre, l’entreprise se porte bien.

mardi 1 mars 2011

Témoignage M.Joutel


Entreprise Joutel, Sainte Marie au Bosc, 14 salariés, Maçonnerie
Témoignage d’un couple d’artisans
« Les ouvriers ont vu que l’on s’intéressait à eux. »
Pouvez-vous me parler de votre parcours ?
Monsieur Joutel a un CAP de Maçon, il a travaillé dans la restauration de bâtiment pendant 20 ans. Quant à moi, j’ai un diplôme de comptabilité qui m’a permis de travailler 15 ans dans les banques. Lorsque je me suis retrouvée au chômage, on a pris la décision de se lancer. On a toujours eu envie de créer une entreprise mais on attendait une opportunité. Comme je n’avais plus d’activités, c’était le bon moment. On a démarré l’entreprise en aout 2005 en tant qu’associés. Il est important de le préciser car les femmes d’artisans sont souvent salariées ou collaboratrices. Nous avons commencé avec 2 salariés, 1 manœuvre et 1 maçon. L’activité s’est vraiment bien développée et aujourd’hui, nous avons 14 salariés.
Pour quelles raisons avez-vous fait appel à la CAPEB ?
On connaissait de réputation. James nous a proposé de faire un bilan des compétences de nos salariés, ce qui nous a semblé intéressant pour les ouvriers. Il y a une bonne entente dans l’équipe, on est un peu comme une entreprise familiale.
Comment cette démarche s’est elle déroulée ?
On a fait une réunion collective pour expliquer la démarche aux gars. On a bien insisté sur le fait que ce n’était pas une punition. Ils ont compris que c’était bien pour eux. C’était important de savoir comment ils se plaçaient dans la société car certains avaient tendance à se sous-estimer et ce qu’ils voulaient faire à l’avenir. Nous avons été étonnés de certains rendus notamment par le fait que certains salariés sont encore plus compétents que ce que nous connaissions d’eux.
Il faut dire que certains salariés n’osaient pas s’exprimer au départ. Le chargé de mission leur a dit de ne pas hésiter à dire les choses : « Si vous savez faire telle ou telle chose, notez-le ».Comme cela, on a pu découvrir des compétences de certains de nos ouvriers que nous ignorions.
Ils ont tous rempli les dossiers et ça nous a permis de voir ce qu’ils leur manquaient. Parfois, ils ne nous donnent pas tous les détails et on n’a pas forcément le temps pour le savoir. Cela nous a donc permis de prendre le temps pour eux et de savoir si certains voulaient faire des formations. Ils ont tous écrit des choses intéressantes. Dans l’ensemble, ils veulent se perfectionner et persévérer dans leur boulot.
Avez-vous effectué des entretiens suite à cette réunion ?
Nous n’avons fait que deux entretiens pour le moment. Les salariés que nous avons vu ont toutes les compétences nécessaires et ne souhaitent pas se former pour le moment. Nous allons prendre le temps pour continuer les entretiens car certains souhaitent se perfectionner dans la restauration. Donc, nous allons essayer de répondre à leur demande.

Quel bilan tirez-vous de cette démarche ?
C’est bien car les gars ont vu qu’on s’intéressait à eux et on a écouté leur demande. Il y a un salarié qui ne voulait pas faire de carrelage donc on évite de le mettre sur des chantiers où il y a du carrelage. On essaye d’être à l’écoute et de répondre à leurs attentes. S’il y en a un qui veut faire du gros œuvre, on ne va pas le mettre dans la restauration. On respecte leurs goûts. On a réorganisé des choses par rapport aux compétences des salariés.
Quels sont vos projets pour l’avenir ?
Jusqu’à lors cela se passe bien. On veut stabiliser les choses. On souhaite déménager car on n’a plus de place. On compte rester dans le coin mais dans quelque chose de plus grand.

mardi 15 février 2011

Témoignage Matthieu Lucas





Matthieu Lucas, Yerville, 1 salarié, Terrassement, Maçonnerie, 26 ans.

« Il m’a appris beaucoup de choses, notamment que ce ne sont pas les gens qui ont le plus de « Bla bla » qui sont les plus compétents. »
Quel est votre parcours ?
Auparavant, j’étais conducteur de travaux dans une société qui a pour activité principale la construction de maisons individuelles. J’ai voulu créer ma propre société par désir d’entreprendre. Ainsi, en octobre 2009, CNBTP (Compagnie Normande de Bâtiment et Travaux Publics) a vu le jour. Nous faisons du terrassement et de la maçonnerie et employons 1 salarié. Cependant, j’ai deux casquettes puisque je n’ai pas quitté mon métier de conducteur de travaux.
Pourquoi avez-vous fait appel à la CAPEB ?
J’ai fait appel à la CAPEB dans le but de recruter 2 personnes, 1 pelleteur et 1 maçon. James Colas a fait une présélection. Nous avons fait les entretiens à deux. Il intervenait sur des questions précises mais surtout essentielles dans un entretien de recrutement. Je suis un gars du bâtiment, j’ai tendance à tester les personnes « en leur rentrant un peu dedans » pour voir si elles sont caractérielles alors qu’il fait les choses avec diplomatie, on sent que c’est son métier, il met les formes.
Que retenez-vous de cette intervention ?
Le chargé de mission de la CAPEB m’a appris beaucoup de choses sur le recrutement, notamment que ce ne sont pas les gens qui ont le plus de « Bla bla » qui sont les plus compétents. Je lui « tire mon chapeau » car il se démène pour trouver des gens compétents et c’est un vrai challenge de nos jours. Il m’a fait gagner du temps et m’a bien soulagé dans cette démarche. Du coup, je ferais appel à lui si je dois recruter de nouveau mais pour le moment ce n’est pas d’actualité car nous faisons appel à la sous-traitance en cas de surcharge de travail.
Quels sont vos projets pour l’avenir ?
A l’avenir, je souhaiterais développer mon activité. Le but est de rechercher de nouveaux marchés car il faut le temps de se faire connaître. Mais, il est important de prendre le temps de faire les choses.

mardi 1 février 2011

Témoignage Béatrice Barray




Entreprise B.Barray, Béatrice BARRAY, 5 salariés, Métallerie, Lillebonne, 50 ans.


« On aimerait obtenir le label Handibat »
Pouvez-vous me parler de votre parcours ?
J’ai 50 ans et un parcours professionnel atypique. J’ai obtenu un BTS assistante de direction qui m’a permis de commencer mon expérience professionnelle dans le transit portuaire en tant que standardiste. J’ai évolué très rapidement puisque l’on me confiait des postes à responsabilités. En effet, lors de contrats en intérim, j’ai pu travailler dans plusieurs secteurs dont celui de la pétrochimie en tant qu’assistante d’ingénieurs. Ce qui m’amène à dire que l’intérim est une étape formatrice qui est importante pour progresser. Cette expérience m’a appris à aimer le travail en équipe et à prendre conscience de la vie sur le chantier. Ensuite, j’ai travaillé dans le secteur de nucléaire où je me suis rendu compte de l’importance du respect des procédures. On apprend beaucoup de choses sur le fonctionnement d’une entreprise. J’ai poursuivi mon parcours dans le secteur de l’aéronautique en tant que chargée de patrimoine pendant 10 ans. Au sein de cette entreprise, un nouveau directeur est arrivé, ce qui m’a amené à évoluer dans mon poste. J’ai repris des études en ressources humaines, une licence GRH en formation continue afin de me remettre à niveau. Ce diplôme m’a permis de travailler dans le secteur de la formation et de la communication jusqu’à la reprise de l’entreprise familiale.
Au départ de cette nouvelle aventure, j’étais secrétaire comptable. L’entreprise n’allait pas bien mais comme j’aime le challenge, j’ai décidé de résister car on était une bonne équipe de 4 salariés. En 2003, j’ai repris l’entreprise en promettant aux salariés de les mener jusqu’au Manuel d’Amélioration de la Sécurité(MASE). Deux des anciens salariés sont restés, ils sont le fondement de l’entreprise. J’ai eu beaucoup de mal à recruter, c’est pour cette raison que j’ai fait appel à la CAPEB.
Pouvez-vous m’en dire plus sur cette intervention ?
Ce qui est le plus difficile ce n’est pas le recrutement en lui-même mais l’intégration de la personne dans l’entreprise. On est un noyau dur de 4 personnes. On a un rythme de travail à « choper ». Ce qui est intéressant, c’est le savoir être plus que la compétence. D’ailleurs, nous avions recruté une femme en métallerie qui était compétente mais qui n’a pas su s’intégrer. Suite à cela, j’ai demandé des conseils à la CAPEB sur l’entretien d’embauche car je suis « mère-poule » et j’ai du mal à me détacher de l’affectif. Si je ne sens pas quelqu’un affectivement cela ne va pas. Donc, j’ai voulu savoir poser les bonnes questions pour apprendre à me détacher. J’ai un guide d’entretien auquel je me tiens pour m’aider à être dans le bon et surtout à me positionner en tant que chef d’entreprise. J’ai, dans le même temps, demandé des conseils à Grégor Aupaix sur les entretiens annuels.
Quels constats aviez vous pu faire ?
Je me suis posée une question sur cet aspect : « Pourquoi j’arrive à faire passer les entretiens professionnels avec certains salariés et pas avec d’autres ? ». Je pense que j’avais besoin d’outils et de méthodes donc j’ai suivi la formation GPEC.
Dans le Mase, il y a des procédures similaires aux contenus de l’outil utilisé pour la GPEC. Ces procédures reprennent des définitions de fonctions et une communication formelle que les salariés connaissent. Elles ne sont pas aussi poussées que dans la GPEC mais elles ont le mérite d’exister. En utilisant la GPEC mon but était de vérifier que la définition des postes soit bien adaptée à l’entreprise. Je l’ai testé sur la personne la plus compétente et cela m’a permis de confirmer que c’était bien ce salarié qui était mon référent technique.
Comment les salariés ont-ils perçu cette démarche ?
Ils l’ont trouvé très compliquée. Donc, j’ai décidé de la transformer en 3 phases : « Acquis », « Non acquis », « Besoin de formation ».C’était mieux adapté. Ils ont compris que le but n’était pas de les surveiller mais d’évaluer leurs compétences et de comprendre quels étaient leurs besoins.
Qu’est ce que cette intervention vous a permis de découvrir sur vos salariés ?
J’ai pu constater que la secrétaire ne faisait pas les relations clients et l’archivage. Elle a donc effectué une formation comptable. Cette démarche nous a permis de faire évoluer ses compétences sur le poste. Il y a 4 ans, elle faisait des devis sur Excel, aujourd’hui, elle est formée sur des logiciels spécifiques à la comptabilité.
J’ai pu également faire évoluer un de mes salariés qui a des difficultés à lire et à écrire. Il est métallier mais a des compétences inexploitées en mécanique par exemple. Aujourd’hui, il fait la maintenance des véhicules de l’entreprise. Je lui ai donné des fonctions supplémentaires pour qu’il comprenne que je lui fais confiance malgré ses difficultés. Je m’arrange pour adapter son poste. C’est quelqu’un qui a beaucoup de bon sens. Je ne le laisse pas tomber. Il a sa place dans l’équipe.
Quel bilan faîtes vous de l’intervention de la CAPEB ?
La GPEC est une démarche intéressante car elle aide à situer qui doit faire quoi. Je pense qu’elle est efficace à long terme.
Quels sont les projets de l’entreprise ?
On aimerait obtenir le label Handibat. On va travailler dans ce sens afin d’être les premiers sur ce type de marché. L’objectif est de développer l’entreprise sur quelque chose de nouveau.

Handibat: label attribué aux entreprises qui souhaitent se positionner sur le marché de l'adaptation des logements des personnes à mobilité réduite.

vendredi 14 janvier 2011

Témoignage de Monsieur Blosseville.


Entreprise Blosseville, M.Blosseville, 12 salariés, Electricité, Offranville.

« Mes salariés ont compris qu’ils avaient vraiment leur place dans l’entreprise. »

Pouvez-vous me parler de votre parcours ?

J’ai 41 ans et j’ai un parcours atypique. J’ai commencé par un CAP d’ébénisterie. Après ce CAP, j’ai préparé des concours et entre autre le concours des beaux arts de Paris que j’ai obtenu. Je suis resté deux ans à Paris puis je suis parti travailler dans une école d’art en Finlande. C’était très intéressant car il y avait une richesse culturelle qui m’a permis de voir l’art d’une autre façon.

Après cette formidable expérience, je suis retourné en France par choix de vie où j’ai travaillé en tant que commercial pour les produits bancaires et financiers pendant 4 ans. J’ai appris le commerce et le management dans cette entreprise. Je me suis lassé donc j’ai travaillé à droite à gauche en sculpture.

Puis, je suis allé travailler dans l’entreprise de mon père, artisan électricien. Il m’a embauché en tant que commercial. Cela marchait tellement bien qu’il a fallu embaucher et on s’est associés. C’est devenu la SARL Blosseville. Je dirige seul cette entreprise depuis 7 ans maintenant. Je suis passé de 3 à 12 salariés.

Au départ, je n’avais aucunes compétences en électricité. J’ai effectué des formations techniques continues auprès de mes fabricants.

Comment avez-vous connu la CAPEB ?

Au passage des 35 heures, nous étions certains que l'on pouvait amener un plus à l’entreprise. On a voulu en savoir plus sur le sujet. Il y avait une réunion qui était organisée à la Chambre des Métiers et j’ai rencontré des personnes qui m’ont recommandé la CAPEB.

Qu’est ce qui vous a amené à travailler avec la CAPEB sur la gestion des compétences?

J’ai toujours travaillé sur la gestion des compétences avec mes salariés. On ne faisait qu’une ou deux réunions par an. Quant aux entretiens individuels la question était simple : « Avez-vous quelque chose à me dire ?». C’était assez abstrait. Je n’avais pas réalisé qu’il fallait voir les postes de chacun. En n’allant pas dans le détail, je me suis aperçu qu’il y avait des gens dans l’entreprise qui faisaient des choses que je ne savais pas.

Comment s’est déroulée cette démarche ?

On a étudié points par points les compétences de chacun. On a mené des entretiens professionnels. D’ailleurs, j’ai voulu les étaler sur une semaine ce qui a été difficile à gérer puisque parfois cela durait plus longtemps que prévu. Il faut dire qu’avant, lorsque je les avais en entretien, je parlais beaucoup car je croyais qu’ils s’exprimaient très peu. Là, j’ai été étonné car ils parlaient « d’eux ». Ils donnaient leur avis et j’avais pas mal de choses à leur dire aussi. Donc, tout cela a pris plus de temps qu’avant. J’ai appris beaucoup de choses sur mes salariés notamment en voyant les dossiers qui m’ont été rendus. Certains ont une très belle écriture et je ne le savais pas. Ce qui signifie qu’ils écrivent bien quand ils estiment que le document est important. Puis, il y a des gens qui m’ont dit des choses qu’ils n’auraient jamais exprimées à l’oral. Par exemple, à l’unanimité, ils ont tous notés: « La première chose importante dans mon travail est de satisfaire le client ». C’est leur première motivation alors que je ne leur ai pas demandé d’écrire cela. J’en suis forcément content. D’autres personnes m’ont également demandé plus de responsabilités alors que je ne le savais pas.

Comment les salariés ont-ils perçu la démarche ?

Une personne a eu des difficultés à vouloir la faire car il en avait déjà eu deux dans d’autres entreprises dans lesquelles il n’avait pas du tout vu l’intérêt. Pour lui, c’était pour juger la personne. Or, sur cette démarche là, il a été positivement étonné. Pour les autres salariés, cela a été très positif. Ils sont en attente des entretiens professionnels et sont demandeurs de formations. Ils ont compris que cette démarche n’était pas un jugement. Elle leur a permis de faire un point sur leurs compétences.

Suite à cette démarche, y a t'il eu des changements dans l’entreprise ?

Ce qui a changé de façon certaine c’est que mes salariés ont pu connaître ma philosophie de l’entreprise. Pour eux, j’étais un patron qui était là pour ramasser un maximum de fric. Certainement par rapport à leurs expériences passées. Quel étonnement quand je leur ai dit que le but pour moi était que mes salariés restent le plus longtemps possible dans l’entreprise. Pour eux, c’était surprenant, ils pensaient qu’ils étaient en CDI car ce contrat est plus facile à faire. Ils avaient une vision à très court terme qui est devenue plus large aujourd’hui.

L’organisation interne a également changé. J’ai modifié des points de méthodologie notamment en organisation. On se met d’accord sur des méthodes qui passent par quelques papiers. Par exemple, on définit un temps précis pour les chantiers. On a tous repris à zéro. Certains ont eu plus de responsabilités. Je pense qu’ils ont compris qu’ils avaient vraiment leur place dans l’entreprise.

Enfin, cette démarche m’a permis de travailler sur les rémunérations et ainsi revoir les salaires par rapport à l’organigramme prévisionnel qu’on a mis en place avec Grégor Aupaix. Le but est bien évidemment de valoriser les compétences des salariés.

Et quel est le projet de l’entreprise ?

On ne changera rien fondamentalement mais on va s’améliorer. On va développer certaines activités mais on ne veut pas devenir un magasin. L’idée c’est d’avoir un service complémentaire pour nos clients, un gage de qualité de l’entreprise Blosseville. Donc, certains de mes salariés vont faire des formations pour aller dans cet esprit de complémentarité.

Quel bilan faites-vous de l’intervention de la CAPEB ?

Je la conseille à tous. Cela a été très bénéfique pour l’entreprise. Le support est une très bonne chose. C’est un investissement en temps au départ mais un gain de temps pour la suite.

mercredi 12 janvier 2011

REUNION CHAUFFAGISTES




Les Plombiers Chauffagistes et les représentants de la CAPEB se sont rassemblés pour échanger et présenter le nouveau référentiel Chauffagiste, métier de demain.

Cet échange a permis de finaliser et de mettre un point d'honneur à l'action , qui avait pour but définir les éléments essentiels de l'évolution du métier de chauffagiste.

Ainsi, James Colas et Sébastien Brilhault, Directeur du CREFAB, ont présenté ce nouveau référentiel métier, qui permettra de développer des formations sur le développement durable et les nouvelles énergies à destination des salariés.


mercredi 5 janvier 2011

Club RH


Le 8 décembre dernier dans les locaux de la CAPEB de Seine-Maritime à été organisé une réunion du club Ressources Humaines de la CAPEB de Haute-Normandie.

Le principe était simple réunir les chefs d'entreprise ayant été accompagné sur le recrutement ou la démarche compétences par un chargé de mission de la CAPEB.

Pour cette première réunion du club, c'est François Blosseville, artisan électricien, qui à animé le débat en témoignant sur la mise en place des entretiens professionnels dans son entreprise.

La dizaine de participants conviés à cette première réunion du club ont grandement réagit au témoignage de Monsieur Blosseville, ce qui a donné des échanges très enrichissants pour ces entreprises.

Nous réitérerons la tenue de ces clubs en 2011 pour de nouveaux échanges entre artisans membre du club RH.